Curiosité...
Luis Sepulveda - Le vieux qui lisait des romans d'amour
Quelle n’a pas été ma surprise lorsque j’ai tourné la dernière page de ce roman…pourquoi surprise me direz-vous, et bien tout simplement parce que je possède une édition spéciale qui comprend « Le vieux qui lisait des romans d’amour », suivi d’un commentaire de l’auteur, puis d’une nouvelle inédite…Là vous êtes toujours en train de vous dire, mais pourquoi donc a-t-elle été surprise ? elle va nous le dire oui !
Et bien en fait je me suis rendue compte que ce roman était en fait bien plus court que je ne le pensais, à peine un petite centaine de pages, que le commentaire en fait à peine trois et que du coup, c’est la nouvelle qui prend la plus grand place…j’ai presque été déçue quand j’en suis arrivée à la fin de ce court roman donc…
Mais cependant, je n’ai pas du tout été déçue par son contenu, au contraire…j’avais lu pas mal de critiques sur ce livre et une m’avait marquée plus que les autres, (la personne concernée se reconnaîtra peut-être car j’avoue que je ne me rappelle plus de qui il s’agit) simplement parce qu’elle disait qu’elle avait été déçue car elle ne s’attendait pas du tout à ce contenu essentiellement par rapport au titre…elle s’était faite une idée bien précise, s’était imaginé un tout autre contenu et l’histoire l’avait dérouté…
Je me suis donc plongée dans ce roman sans a priori, et en essayant de me faire le moins d’idées préconçues possibles…et ç a marché, j’ai adoré d’où ma déception lorsque je me suis rendue compte que ma lecture devait s’arrêter bien plus tôt que je ne l’avait prévue (là vous me direz : mais finalement, tu en avais des a priori, tu pensais que le livre serait plus long ! Bon hein, on ne chipote pas s’il vous plaît !)
Du coup, j’ai bien envie de ne pas vous raconter le contenu de ce roman, de vous laisser dans le flou, de vous donner envie de le lire, juste par curiosité, ça change, non ?
Bon allez, juste pour vous mettre l’eau à la bouche, le quatrième de couverture :
« Ses romans parlaient d’amour avec des mots si beaux que, parfois, ils lui faisaient oublier la barbarie des hommes »
A suivre, le billet sur la nouvelle « Le Neveu d’Amérique »…